Alors que s’approche l’ouverture du Centre Pompidou-Metz, je pense à
De 1996 à 2002, alors que je présidais le Centre, elle fut pour moi une amie fidèle et attentive. Elle sut toujours me faire confiance et comprendre que la fidélité à la volonté fondatrice du Président Pompidou ne signifiait surtout pas qu’on considérât le Centre comme une institution figée et immuable mais bien comme un corps vivant capable d’évoluer et de grandir. Elle avait compris que cet objet culturel toujours mobile devait, sans cesse, savoir se désigner de nouveaux horizons et s’engager avec audace dans de nouvelles aventures. C’est elle qui, d’emblée, quand je lui en parlai, comprit le mieux que l’ouverture du Centre à Metz constituerait une gageure à la hauteur de celle qui, fruit des passions qu’elle partagea avec
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