De tous côtés, on me parle de l’ouverture prochaine du Centre Pompidou-Metz. On me demande des informations sur l’inauguration, comme si j’étais encore aux manettes de ce projet. Tout cela me touche, les compliments qu’on me fait ou les questions qu’on me pose signifient qu’on a bien compris combien cette réalisation devait à ma passion et à ma conviction.
Sur les murs de Paris fleurit une belle campagne institutionnelle dont l’argument est « Je m’installe à Metz »... Metz redevenue désirable…, voilà bien la première victoire de cette entreprise.
Dans « Code couleur 7 », magazine d’actualité du Centre Georges Pompidou pour la période d’avril à août 2010, interview croisée d’Alain Seban et de moi-même par Stéphanie Hussonnois. Je suis ému, là aussi, par cette forme d’hommage que rend le Centre d’aujourd’hui à celui qui fut son président de 1996 à 2002. Il m’est arrivé de me dire que je n’aurais peut-être pas dû quitter cette maison que j’ai tant aimée pour le Ministère de la culture et de la communication. C’est dans les établissements qu’on bâtit concrètement et solidement… Le reste n’est-il pas un peu vanité ? « Vanité des vanités » comme dirait l’Ecclésiaste ou « Fumée de fumée » selon la belle traduction qu’en donne Henri Meschonnic.
Sur les murs de Paris fleurit une belle campagne institutionnelle dont l’argument est « Je m’installe à Metz »... Metz redevenue désirable…, voilà bien la première victoire de cette entreprise.
Dans « Code couleur 7 », magazine d’actualité du Centre Georges Pompidou pour la période d’avril à août 2010, interview croisée d’Alain Seban et de moi-même par Stéphanie Hussonnois. Je suis ému, là aussi, par cette forme d’hommage que rend le Centre d’aujourd’hui à celui qui fut son président de 1996 à 2002. Il m’est arrivé de me dire que je n’aurais peut-être pas dû quitter cette maison que j’ai tant aimée pour le Ministère de la culture et de la communication. C’est dans les établissements qu’on bâtit concrètement et solidement… Le reste n’est-il pas un peu vanité ? « Vanité des vanités » comme dirait l’Ecclésiaste ou « Fumée de fumée » selon la belle traduction qu’en donne Henri Meschonnic.
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