Je déjeune chez François et Yumiko Laffanour, près de Perros-Guirrec, avec leurs invités, dont Pucci di Rossi et sa femme. Pucci me montre le projet de tabouret qu’il a conçu pour être édité par François Laffanour. Nous parlons de l’exposition Les Années Staudenmeyer que présente Jacqueline Frydman au Passage de Retz, à laquelle participe Pucci di Rossi.
J’ai bien connu Pierre et cela depuis longtemps, depuis le milieu des années 60, quand déjà, alors qu’il était étudiant à l’école de commerce de Toulouse, il m’impressionnait par l’acuité de son regard sur la création de notre temps. C’est la raison pour laquelle on m’a demandé un témoignage pour le livre qui accompagne cet hommage à un vrai grand personnage que j’avais nommé président du Conseil d’Administration de l’Ecole nationale supérieure d'Art de Nancy, responsabilité atypique dans son cursus dont il s’acquit pourtant de façon très convaincante. Pierre restera comme le créateur de Neotu, éditeur et diffuseur de mobilier contemporain, dont il avait fixé la galerie au flanc du Centre Pompidou, rue du Renard, Pierre est mort en 2007. Anne-Marie Fèvre lui consacre un bel article dans Libération (31 décembre et 1er janvier) qui évoque également l’exposition d’Andrea Branzi à la Galerie Alaïa et celle des 30 ans de VIA au Centre Pompidou.
J’ai bien connu Pierre et cela depuis longtemps, depuis le milieu des années 60, quand déjà, alors qu’il était étudiant à l’école de commerce de Toulouse, il m’impressionnait par l’acuité de son regard sur la création de notre temps. C’est la raison pour laquelle on m’a demandé un témoignage pour le livre qui accompagne cet hommage à un vrai grand personnage que j’avais nommé président du Conseil d’Administration de l’Ecole nationale supérieure d'Art de Nancy, responsabilité atypique dans son cursus dont il s’acquit pourtant de façon très convaincante. Pierre restera comme le créateur de Neotu, éditeur et diffuseur de mobilier contemporain, dont il avait fixé la galerie au flanc du Centre Pompidou, rue du Renard, Pierre est mort en 2007. Anne-Marie Fèvre lui consacre un bel article dans Libération (31 décembre et 1er janvier) qui évoque également l’exposition d’Andrea Branzi à la Galerie Alaïa et celle des 30 ans de VIA au Centre Pompidou.
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