Bruno Gollnisch s'intéresse à l'exposition Murakami Versailles à laquelle il consacre un blog. J'en recommande la lecture...
« Inauguration de l'exposition Sciences et Curiosités à la Cour de Versailles. | Accueil | Véronique Cayla »
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.
L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.
lun. | mar. | mer. | jeu. | ven. | sam. | dim. |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 |
8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 |
15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 |
22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 |
29 | 30 | 31 |
Par votre blog supposez vous que les gens qui sont contre votre horrible exposition sont d'extrême droite!!!! c'est très facile et bas!!! je dirai même minable pour une personne comme vous qui ne cesse de donner des leçons ! j'espère que mon message sera sur votre blog, mais j'en doute.
Cette exposition est un horreure!!!!!!
Rédigé par : didier ansseau | 28 octobre 2010 à 14:31
Bonjour M. Aillagon,
Je suis retournée à Versailles pour voir de mes yeux cette exposition si controversée. Certaines personnes qui critiquent ne l'ont certainement même pas vue. Le patrimoine doit vivre et parfois surprendre !
Rédigé par : Elise V. | 03 novembre 2010 à 02:32
Ainsi donc, mon très pauvre petit Monsieur Aillagon, voici votre dernier petit sophisme misérable ! Ayant provoqué l'écoeurement légitime de l'univers entier, il vous reste comme dernier stratagème de pêcher, dans la foule immense de ceux que vous avez fait vomir, quelqu'un qui a des opinions extrêmes pour tenter - mais en vain - de faire accroire que vous n'êtes pas dans le même mesure exécré par tous les modérés. Non, mon tout petit Jean-Jacques, cela ne marche pas, on vous a vu venir avec votre beau costume corrézien du dimanche !
Rédigé par : furgole | 09 novembre 2010 à 21:23
>Didier Ansseau, Monsieur, vous m’avez mal lu. Je le regrette. Cordialement quand même.
>Elise V., Madame, vous avez raison. Cordialement.
>furgole, Cher Monsieur, Je m’honore d’avoir enseigné en Corrèze, à Egletons d’abord puis à Tulle. Cet épisode reste l’un des plus intenses souvenirs de ma vie professionnelle. J’aime les corréziens et ceux qui les servent, François Hollande comme Jacques Chirac…
Rédigé par : Jean-Jacques Aillagon | 10 novembre 2010 à 18:50