Emmanuel Hoog, président de l’Institut national de l’audiovisuel (INA) depuis le 14 février 2001, devient président de l’Agence France-Presse (AFP). Une tâche décisive l’y attend. Je forme des vœux pour le succès de la nouvelle mission qui lui a été confiée. Sa compétence, sa rigueur, sa culture l’y disposent. A l’INA, il aura accompli un travail remarquable.
Chacun le sait, Emmanuel a grandi dans le monde des musées. Son père, Michel Hoog, mort prématurément, fut conservateur des musées nationaux en poste au Musée national d’art moderne et à l’Orangerie. Sa mère, Simone Hoog, fut conservateur chargée des sculptures au château de Versailles où elle accomplit une longue carrière. Nombreux sont ceux qui se souviennent, au Château, de sa forte personnalité.
Un ami, trop sensible aux rumeurs, ce détestable procédé d’instrumentalisation de l’information, m’envoie un sms où il me dit « Viens à l’INA, tu y seras très bien… ». En d’autres temps, en d’autres circonstances, j’aurais été honoré d’être appelé à diriger cette grande société nationale, mais, on le sait, je suis totalement attaché à la possibilité de poursuivre, au château de Versailles, au-delà du terme du mandat qui m’a été confié il y a trois ans seulement, le travail que j’y ai entrepris.
Les institutions ont besoin de stabilité et de continuité.
La décision du Conseil des ministres d’hier de confier un nouveau mandat de trois ans à Henri Loyrette qui est Président-Directeur du Louvre depuis neuf ans, indique bien que le Gouvernement est convaincu de cette nécessité.
Chacun le sait, Emmanuel a grandi dans le monde des musées. Son père, Michel Hoog, mort prématurément, fut conservateur des musées nationaux en poste au Musée national d’art moderne et à l’Orangerie. Sa mère, Simone Hoog, fut conservateur chargée des sculptures au château de Versailles où elle accomplit une longue carrière. Nombreux sont ceux qui se souviennent, au Château, de sa forte personnalité.
Un ami, trop sensible aux rumeurs, ce détestable procédé d’instrumentalisation de l’information, m’envoie un sms où il me dit « Viens à l’INA, tu y seras très bien… ». En d’autres temps, en d’autres circonstances, j’aurais été honoré d’être appelé à diriger cette grande société nationale, mais, on le sait, je suis totalement attaché à la possibilité de poursuivre, au château de Versailles, au-delà du terme du mandat qui m’a été confié il y a trois ans seulement, le travail que j’y ai entrepris.
Les institutions ont besoin de stabilité et de continuité.
La décision du Conseil des ministres d’hier de confier un nouveau mandat de trois ans à Henri Loyrette qui est Président-Directeur du Louvre depuis neuf ans, indique bien que le Gouvernement est convaincu de cette nécessité.
Je suis totalement d'accord avec le besoin de stabilité des institutions. J'ai remarqué l'irresponsabilité qu'entraîne les changements rapides. Trois ans constituent une mise en bouche. Stabilité ne veut pas dire immobilisme.
Rédigé par : amgg | 01 mai 2010 à 08:27
Vous avez raison !
Rédigé par : Jean-Jacques Aillagon | 04 mai 2010 à 10:27