J'envoie aujourd'hui cette note à l'ensemble des collaborateurs de L’Etablissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles :
Chers collègues,
J'ai l'honneur de vous informer que c'est dans un mois très exactement, le 30 septembre prochain, que je devrai faire valoir mes droits à la retraite. Je quitterai alors notre établissement avec le regret de m'éloigner de vous dont j'ai pu et su, au cours des quatre années écoulées, apprécier les qualités et le dévouement. C'est la raison pour laquelle je mettrai à profit les prochaines semaines pour vous exprimer ma gratitude et mon estime.
Je compte également, d'ici la fin effective de mon mandat, faire le bilan de ce que nous avons accompli ensemble et, surtout, faire le point sur les grands dossiers qui solliciteront l'établissement au cours des prochaines années. Je forme le vœu que cet exercice soit utile à mon successeur dont la nomination par le Président de la République est désormais imminente.
A vous tous, mes cordiales pensées.
Jean-Jacques Aillagon
@Christophe Hébert
Monsieur, vous êtes libre de vos jugements. Cela dit, je ne comprends pas ce que vous entendez par "privatisation du château par rapport à la ville". Les versaillais sont les principaux bénéficiaires d’un domaine national de près de 1.000 hectares entretenu grâce aux contributions fiscales de tous les français et grâce aux droits d’entrée de ses millions de visiteurs.
Tout cela ne coute rien à la commune de Versailles. Le domaine national lui rapporte même une part substantielle de sa ressource grâce à la concession de la place d’armes dont elle bénéficie.
Rédigé par : Jean-Jacques Aillagon | 08 janvier 2012 à 21:14
@Philippe Bidaine. Cher Philippe, je conserve un très heureux souvenir de notre collaboration. Je crois que nous avons bien ensemble servi le Centre Pompidou.
À vous amicalement,
Rédigé par : Jean-Jacques Aillagon | 08 janvier 2012 à 21:16
@Viviane Zenner. Chère Vivianne, prenez bien soin des jeunes talents, des jeunes passions, des jeunes vies qui s’épanouissent à Creutzwald.
Amicalement,
Rédigé par : Jean-Jacques Aillagon | 08 janvier 2012 à 21:17